Que devons-nous attendre des réunions?
L'événement de cette année est considéré comme un « successeur de la COP21 » et sera utilisé pour aborder ce qui a et n'a pas été réalisé jusqu'à présent depuis ces promesses initiales en 2015.
Les objectifs du Royaume-Uni en tant qu'hôte sont quadruples. La première consiste à pousser tous les pays à se fixer des objectifs de zéro émission nette et à se fixer d'autres objectifs pour 2030.
En outre, il souhaite formuler des plans pour que les pays s'adaptent aux impacts du changement climatique, réduisant ainsi le potentiel de catastrophe humaine, ce qui mérite probablement une réflexion compte tenu de l'état de nos conditions météorologiques au cours des dernières années.
Il souhaite également encourager les pays riches à apporter un soutien financier aux régions les plus pauvres du monde, en les aidant à réduire leurs émissions et à créer des moyens plus écologiques de produire de l'énergie.
Enfin, le Royaume-Uni fait pression pour que la société civile joue un rôle plus important dans les discussions sur le climat et encourage le grand public à être plus impliqué et actif dans les discussions, d'où l'implication de David Attenborough.
Attendez-vous donc à de nombreuses discussions sur l'aide financière, les solutions d'adaptation et les objectifs réalistes qui peuvent maintenir les choses en dessous du seuil redouté de 5 °C pour l'augmentation de la température mondiale. Moins nous sommes susceptibles de préparer la Terre dans une dystopie ardente et cauchemardesque, mieux c'est.
Quelle est l'urgence des pourparlers cette année ?
La COP26 n'a pas pu arriver à un temps plus urgent dans l'histoire moderne, pour le dire franchement. Nous avons vu les conséquences en temps réel de l'augmentation de la température mondiale devenir plus importantes au cours de la dernière décennie, rendant une action rapide vital.
Qu'il s'agisse d'incendies de forêt continus et routiniers, de journées de chaleur record chaque année, ou crue éclair, les événements climatiques extrêmes deviennent la norme. Rien que cette année, le Canada a vu vagues de chaleur de près de 50C, brisant les précédents sommets de 1937.
Les climatologues nous avertissent que nous devons faire quelque chose d'important bientôt si nous voulons éviter les pires scénarios. Alors que la consommation de combustibles fossiles fait en légère baisse en 2020, les émissions de carbone continuer à augmenter chaque année.
Même un bref coup d'œil aux faits et aux rapports indique qu'il ne se passe pas assez de choses et que les politiciens du monde entier ne parviennent pas à maîtriser pleinement leurs actions polluantes.
L'accord de Paris de l'ONU en 2015 a présenté des objectifs très ambitieux et potentiellement inaccessibles pour les émissions climatiques, dont la plupart n'ont pas encore été honorés à distance.
Comme TEMPS récemment mentionné, la moyenne mondiale est maintenant déjà 1.2°C au-dessus des niveaux préindustriels. Les températures augmentent d'environ 0.2 à 0.25 °C chaque décennie, ce qui ne nous laisse que quelques années pour maintenir les choses en dessous de l'objectif d'augmentation initial de 1.5 °C.
La COP26 sera une extrêmement moment important pour décrire la prochaine décennie de défis, de plans et de changements significatifs, et devra offrir plus que de nobles promesses.